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| Maaya Lune Sombre ( en cour) | |
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Maaya Lune sombre Voix des Ombres de Crescent Moon
Nombre de messages : 171 Age : 39 Groupes/Clans : Tous et aucun Lieu du Rp en cour : Partout et nul part Date d'inscription : 26/02/2007
| Sujet: Maaya Lune Sombre ( en cour) Lun 12 Nov 2007, 02:07 | |
| Nom : Mananora
Prénom : Freya
Surnom: Maaya Lune Sombre
Âges:
- Quel âge paraissez vous avoir au yeux des autres ? On me donnerait à peine 20 ans , mes traits sont encore fort juvénile ce qui n'est pas pour me déplaire bien au contraire . Plus facile est la séduction de la proie .
-Quand êtes vous née ? Je suis née en Hiver juste avant le grand cataclysme. -Quel âge aviez-vous quand vous avez été étreint ?
-Depuis combien de temps êtes-vous Tromas ? Je pense qu'on peut dire que j'ai fais partie des premiers infectées .
- Êtes-vous plus ou moins mur que vous le semblez ? Bien plus mûr et réfléchie que vous pouvez le croire .
Votre Sire : ( La personne qui vous à fait devenir Troma) La femme qui me fit entrer dans le monde de la nuit se nommait Ange , c'était une imposante femme d'affaire comme l'était ma tante , calme , manipulatrice et ambitieuse , voilà les traits principaux de cette avocate de renom dans le monde de la nuit . La raison pour laquelle , elle ma choisit , et bien elle s'accorde souvent à dire que je suis semblable à elle , belle et un poison subtil dont il est difficile de se défaire . Et surtout qu'un sang noble coule en mes veines.
Votre rôle : Héritière du Dragon Physique :
Cette jeune femme à les cheveux noirs, mi court, soyeux et doux avec des effluves épicé. Ses yeux sont étrange l'un est bleu vert l'autre est vert d'émeraude, mais ils ont un certain reflet jaune, lors de ses grandes colères. Donnant à son regard un magnétisme animale presque effrayant. Ses traits de visage son fin, elle ressemble à un être angélique, car ses traits ne sont pas agressifs mais tout en douceur. Ses lèvres rouges brillant et sa peau pâle est douce et parfumée, elle peut ressembler au satin. Maaya à une musculature toute en finesse, rien de mieux pour un prédateur nocturne, ses mains sont fines et souvent très bien manucurée. Sa silhouette est loin d'être désagréable à regarder, dame nature la paraît de beau atout féminin, la rendant redoutable pour séduire. Souvent habillée dans des toilettes chics et chères, la jeune femme met son corps en valeur et s'habille toujours de manière sophistiquée et quelquefois de manière plus provocante sans aller jusqu'à la vulgarité.. Elle adore porter des bustiers de satin avec dentelle accompagnant souvent des jupes longues ou des pantalons à tailles basses. Maaya étant une vieille créature, elle arbore des traits asiatiques, laissant voir des yeux légèrement bridée. Elle porte toujours un chapeau haut de forme lui donnant un air noble et hautain, il semblerait que son goût du luxe ne l'ai pas quittée, la rendant d'une beauté explosive. Sa voix est douce et mélodieuse est légèrement suave et envoûtante.
Caractère :
Maaya est un prédateur avant tout, aimant le jeu de la séduction. Sous ses airs de jeune chatte effarouchée, se cache une redoutable créature nocturne. Elle peut sembler sans défense et surtout inoffensive, mais ne vous fiez pas à cette douce apparence de jeune femme fragile. C'est une femme d'action qui a plutôt sale caractère, violente et cruelle, manipulatrice de corps et d'esprit, elle aime l'obéissance aveugle . Ne supporte, ni l'échec, ni la peur ni la trahison. Cette jeune femme est très intelligente et c'est obtenir ce qu'elle veut, la diplomatie n'a plus aucun secret pour elle, surtout sa diplomatie. Maître de la torture et de la cruauté. Maaya est sur tous les fronts, et ne reculera devant aucun sacrifice pour obtenir ce qu'elle désire. L'avoir en alliée n'est jamais mauvais, car niveau influence il n'y aucun doute c'est elle la chef, mais l'avoir en ennemie , il faut s'attendre à vivre un cauchemar éveillée. Le pardon chez elle n'existe pas. La trahir ou la tromper c'est criminelle et elle se venge en vous rendant la vie impossible.
On dit d'elle:
"Qu'elle à une poigne de fer dans un gant de velours et surtout que sa beauté est un poison subtile qui rend n'importe quel homme fou, pour recevoir d'elle simplement un regard !" Se damner pour le diable, que c'est amusant !
Maaya est une stratège hors pair qui réfléchit de ses actes elle n'agira jamais sur un coup de tête. Elle n'aime rien n'y personne, si elle s'aime elle et ça lui suffit largement. Malheureusement son grand âge lui apporte un dérangement non négligeable, une folie douce en quelques sortes, la rendant totalement lunatique. Malgré tous ses aspects négatifs, elle aime côtoyer du monde même si elle crie injurie pour qu'on la laisse tranquille.
Faction que vous avez choisi de rejoindre : L'ordre du Dragon
Qualités :
Défauts :
Histoire :
Kiev avant le grand cataclysme
Nuit fraîche, l'eau du bassin dans l'immense jardin frémissait, créant des remous à la surface de l'eau limpide du bassin. La neige couvrait tout lentement, insonorisant tous les bruits de la nature.
Le calme était entrecoupé par le bruissement des ailes d'une chouette qui volent après un mulot.. Dans le grand Manoir plus haut dans le domaine, les faibles lueurs des bougies dansaient toujours le long du mur agrandissant les ombres, une femme au long cheveux habillée d'une longue chemise de nuit en coton beige attendait là, les traits crispés par les récentes douleurs.
Des Tâches rosées inondaient le tissus et les draps, la jeune noble avait le visage déformait par la douleur du travail de l'enfantement. Une petite femme grisonnante qui épongeait le visage de celle-ci. Des hurlements de douleurs déchiraient le noir d'encre de la nuit, la femme hurlait, ses entrailles se déchirant à chaque contraction. Ses traits se tordaient se plissaient sous l'effort. Une main agrippant fermement les mains de la sage femme, l'autre serrant si fort le drap que si elle continuait , elle en arracherait le tissu..
Petra la sage femme tenait fermement les mains de Natalia ma mère, lui donnant des ordres, le miracle de la vie allait encore avoir lieu.. Puis soudain ce fût la délivrance .. le sang coula entre les cuisses de celle-ci, puis le bébé apparu, mugissant mécontent d'être extirpé de la poche maternel.. Le sang avait inondé le lit blanc, ainsi que sa fine chemise de nuit . Une petite fille venait de naître .. La Deuxième cette nuit là.
Natalia souriait devant la petite merveille, elle essuya son visage, avec un linge propre.. le petit nourrisson gigotait comme un vers sûr le ventre nu de sa mère..
La guerre avait éclaté et la plupart des hommes avait quitté leurs foyers chaleureux pour la boue et les tentes de fortunes.. Les charniers nauséabonds et la violence de la mort.. L'air embaumait la poudre, et l'odeur de pourriture des corps en décomposition... La fatigue est la crasse, c'était le nouveau quotidien du père de Freya et Nadedja, un virus semait la terreur, dans les territoires Londoniens. La propagande demandait à tous les hommes Valides de rejoindre les troupes militaires, ce que fit Jhans sans hésiter abandonnant sa femme et ses deux filles qui viennent de naître, c'est dans ce climat que je naquis avec ma soeur. Ce fût la dernière nuit où je vis mon père en vie. Son image se brouille encore actuellement dans mon cerveau.
J'étais le second bébé à voir le jour cette nuit là, Freya et Nadedja, deux enfants au destin tragique, oui tragique. , bien sûr , tout ça n'arriva pas de suite, bien plus tard. Nous laissant une enfance heureuse seulement berçait d'une illusion qui vola en éclat. Un triste soir de pluie.. Huit années avaient passée dans l'amour et la joie, d'un foyer doux et chaleureux, à l'époque nous étions deux élèves studieuses, Nadedja s'avérait la plus douée pour les arts, elle commença la danse classique moi et bien les livres étaient mon seul refuge, Nadedja était la plus douce, la plus souriante la plus aimée, celle à qui on prêtait toutes les attentions. Moi je n'étais que le passe partout celle qu'on ne voit que quand elle fait une bêtise, depuis quelques temps je souffrais de migraine affreuse.. Mais ne rien dire ! Freya était la plus forte !
Il pleuvait fortement ce soir-là, ma mère ne me voyait toujours pas, elle ne voyait que cette soeur que je haïssais chaque jour. Je ne sais pas comment cela c'est produit nous étions à la cuisine en train de manger, quand une porte du placard s'ouvrit brusquement, puis une autre, les couvert se levait tous seul, les robinets tournaient. Les verres s'écrasaient contre les murs.. Une telle rage, une telle violence, ma mère et ma soeur hurlèrent de terreur ce soir-là, se levant de table et quittant la pièce ou se déroulait cette scène hors norme.
Au début on évoqua la possibilité d'un poltergeist on fit venir d'imminent chercheur, cela m'amusait et chaque jour les évènements s'intensifiaient, j'étais terrorisé, car cela se produisait toujours en ma présence, les couteaux se plantaient dans les murs, les cruches d'eau se renversaient sur le sol. La cuisine semblait maudite. Et au fil du temps Nadedja fût la cible de ses apparitions. Une armoire qui se lève pour l'écraser, heureusement ma mère veillait sur sa chère fille !
Mais le pire fût un soir dans notre chambre à moi et Nadedja. Le lit semblait craquer et prendre vie, cette petite sotte hurlait, oui si fort qu'elle vrillait mes tympans , je ne veux qu'une chose qu'elle se taise, ce soir-là elle s'était appuyée sur la porte fenêtre me regardant avec ce regard que je n'aime pas, un regard accusateur, un regard que je détestais . Elle reculait, elle avait peur de sa propre soeur, s'en était trop, elle était a éliminer, elle était faible et je la détestais . La porte fenêtre s'ouvrit brusquement et Nadedja s'écrasa sûr le pavé, dans un bruit sinistre..
Je ne pleurais pas, je ne ressentais rien face à ce corps sans vie qui gisait plus bas, d'où le sang maculait lentement le pavé. Cette couleur me fascine, si rouge, si intense. Ma mère sort en criant devant le spectacle horrible qui se trouvait devant ses yeux, sa petite préférée venait de quitter la vie pour un monde meilleur. Mais elle ne tourna jamais les yeux vers le petit corps frêle penchait au-dessus du balcon, qui fixait d'une manière intense cette mère qui refusait de la voir . Elle serait la prochaine ....
Long fût le deuil de cette soeur qui même morte me pourrissait la vie, ma mère ne pleurait déjà plus son homme mort à la guerre, oh que non, elle l'avait déjà oublié lui, alors que l'on portait en terre Nadedja, qu'elle ne fût pas ma colère de la voir jouait sa martyre , elle me répugnait. J'étais encore un jeune enfant à peine âgée de dix ans et pourtant si amère devant cette famille qui ne m'aimait pas. Le pire arriva quand Natalia tenta de se refaire une vie, elle choisit un homme qui empestait l'alcool et le vieux patchouli, il ne m'aimait pas, ça se voyait comme le nez au milieu de sa figure . Et la belle Natalia elle avait l'air de s'en foutre .
Je suppose que je suis devenue trop gênante, lorsqu'on m'envoya chez une de mes tantes sur le continent anglais. L'homme qui était avec elle , ce jour-là me fit bien comprendre qu'il ne voulait plus me voir. Que je partais à jamais de ma maison. C'est comme il voulait, mais il le payerait, j'avais treize ans quand je commettais mon second meurtre, une violente dispute éclata entre Natalia et cet homme. Comme s'ils pensaient que j'allais rester dans ma chambre bien gentiment alors que ce porc rouait de coup cette mère indigne, il n'avait pas le droit de lui ôter sa vie c'était à moi seul, c'était mon droit.
Lorsque mes pas résonnèrent dans l'escalier , je vois encore le visage de cette mère se transformer , elle avait peur. L'homme la tenait par la tignasse , le visage de Natalia était déjà tumefié par les coups de poings de cette brute . Je me rappelle avec minutie de la scène qui se passa juste après ma descente de ce bel escalier de marbre. Les yeux de ma mère implorait en silence.
Il faisait noire, le vent hurlait derrière les volets en bois. L'homme était une fois de plus ivre, il titubait, je ne me rappelle plus les mots, mais je sens encore ses mains me saisir, moi le fêtu de paille. Il semblait un animal, avec cette respiration haletante, je sentais ses mains se posait sur mon corps, ce n'était qu'un mauvais moment à passer, de plus ce n'était pas la première fois, mais pourquoi se débattre, car il allait payer !
Nu sur le sol, j'ouvrais péniblement les yeux, j'avais mal à la tête, j'étais en dehors du manoir qui flambait tel un amalgame de papier, j'étais couvert de bleu et de bosse. Et je tenais fermement dans ma main quelque chose, au début je fûs prise de nausée , j'avais mal à la tête , lorsque mes doigts s'écartérent, je fûs soulagée, car j'avais récupéré le médaillon avant que tout disparaisse dans les flammes.....
Dernière édition par le Lun 19 Nov 2007, 01:19, édité 1 fois | |
| | | Maaya Lune sombre Voix des Ombres de Crescent Moon
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| Sujet: Re: Maaya Lune Sombre ( en cour) Sam 17 Nov 2007, 01:50 | |
| Deux ans plus Tard Londres Quinze ans, on dit que c'est les plus belles années de sa jeunesse, pour moi ce fût la plus belle, car je suis tombée amoureuse et je crois que quelques parts je l'aime toujours. Ma tante Eloïse fût ma nouvelle famille après la terrible tragédie. Bien sûr le monde était à présent en ruine, mais les riches restent riches, nous étions protégés dans le magnifique quartier de Monsieur L. C'est au cour d'une de mes nombreuses soirées mondaines que je le vis la première fois. Alexander, un très beau jeune homme qui me mit le coeur en morceau, les nerfs à vifs. Et qui pour une fois me voyait pour ce que j'étais , ma tante semblait beaucoup apprécier la famille Black. Belle est intelligente c'est ce que je cultivais pendant de long mois , je voulais ressembler à cette imposante femme d'affaire qu'était ma tante . Qui jonglait aussi bien avec les hommes qu'avec ses propres affaires . Ce fût ma seconde naissance Eloïse m'éleva dans les purs traditions britaniques faisant de moi une véritable noble. Je rayonnait dans chaque soirée , mais l'approche fût très longue ma tante jugeait que je n'étais pas encore assez british. C'est à mes seize ans , alors que je fêtais mon anniversaire que je l'aperçu pour la seconde fois , ma tante l'avait invité , elle était rusé. J'avais de magnifique cadeau.
Mais le plus beau à mes yeux restaient sans nul doute, le jeune garçon qui m'attendait dans le kiosque de la propriété. Après les remercierments à mes amies et amis, je m'éclipse de la fête pour rejoindre l'extérieur de la propriété. J' étais euphorique à l'idée d'avoir pour moi toute seule Alexander, il était âgée d'un an de plus, le jeune homme me laissait toute chose, son regard me faisait fondre et je me sens soudainement timide. Vous savez la boule au creux de l'estomac, les mains moites, tout ce qui fait que vous vous sentez toutes choses en présence d'une personne. Il portait dans ses mains un cadeau, une petite boîte ronde, entourée de ruban de soie. Il était mignon dans cette situation, avait il le tract? Je ne savais pas comment l'aborder, il était si parfait, je me sentais inférieur à cette perfection qui semblait si froide. Le premier contact fût des plus maladroit, un silence pesant, des sourires, des regards.
Quelques parts je suis déçu de ce premier rendez-vous, il m'avait offert un magnifique pendentif et se sauva me laissant la marque d'un baiser furtif avant de disparaître dans les ombres de la nuit qui descendait lentement, ma main posait sur la joue ou il avait déposé ses lèvres. Je pris place sur le banc de pierre de longues heures à soupirer.
Eloïse n'en perdait pas une miette, c'est elle qui lança la conversation d'être amoureuse. Au début je ne voulais pas croire. Moi freya j'étais tombé amoureuse, impossible ça ne pouvait pas être sa. Alexander au début devînt un ami, un confident. Il partageait mes joies, mes peines, de nombreux rendez-vous, cinéma, sorti mondaine. Nous étions inséparable, à mon souvenir il brisa cette amitié, un soir de clair de lune, alors que nous admirions les étoiles filantes, il s'amusait toujours à m'enrager, c'était son jeu préféré. Il était penché au dessus de moi, me fixant de ce regard si troublant et magique, ou l'on se perd avec délice. Nos deux visages étaient presque collés, il s'approcha et dans un murmure nos lèvres s'unir et j'échangea mon premier baiser avec ce garçon qui était tout pour moi. Si seulement j'avais su, ce que le futur me réservait. Ce soir là je me perdis dans ses bras , me laissa couvrir de baiser , et m'abandonna à lui.
Es ce que c'est ça l'amour ? Au petit matin, la rosée tombait sur ma peau, j'étais dans ses bras, le sourire au lèvre. Es ce que c'est ça être heureux ? recouvert simplement de sa veste, j'arborais un de ses sourires dont j'ai le secret. De longues heures s'écoulérent avant que chacun reparte de son côté. Deux ans plus tard le mariage était amorcée , ma tante et la famille Black organisait tout , de A à Z. Les invitées étaient sérieusement triée sur le volet. Ma tante répétait sans cesse que ce moment resterait gravé dans ma mémoire. Elle n'avait pas tord même si cette instant resta tragique. Car il me plongea au coeur de la tourmente.
Le 12 Juillet, restera à jamais gravée dans ma mémoire, l'horloge du manoir indiquait 10 heures, dans deux heures je serais Madame Black, mon coeur est prêt à se rompre, j'attend cette instant avec impatience, mes filles d'honneur son toutes plus belles, les une que les autres, je resplendis dans cette robe blanche. Je ne tiens plus en place, dix heures trente la limousine arrive devant la porte. Je descend lentement l'escalier, je brille de milles feux. Onze heures j'arrive enfin en vue de la chapelle ou doit me rejoindre Alexander. J'attends dans la petite pièce adjacente, mon visage recouvert d'un voile, mon coeur bat la chamade. Les cloches sonnent de plus en plus fort, j'entend la musique qui démarre, c'est à moi, c'est le grand jour, je marche le sourire au lèvre, en vu de l'autel. La plus petite de mes filles d'honneurs jettent des pétales de rose rouge devant mes pas. je vois encore les sourire éclatant des invitées. Et puis soudain tous se brise. Le beau rêve devient cauchemar. La limousine du marié ne vient pas, la foule chuchote, se bruit devient assourdissant. Je garde la tête haute, mais mes yeux pleurent , mon mascara s'étale tel de grande griffe noire me défigurant le visage.
Je ne sais combien d'heure j'attendis là immobile, mon rêve brisée. On hurla au scandale on roula nos deux noms dans la boue. Il fallut rendre la salle, payer le banquet. Payer la robe inutilisée. Suite à ce geste, je m'enferma des semaines dans ma chambre, je ne répondais ni au téléphone ni au fax. J'étais là sans être présente. Ceci dura presque un an. Pourtant, je finis mes études de droit et fût embauché dans un cabinet de Crescent Moon. C'est là ou ma véritable histoire commence... Mon coeur brisé ne se recolla jamais ou du moins à cette époque c'était impossible.
Larme de Sang , Coeur de pierre :
J'avais à présent une nouvelle raison de me battre, j'avais 20 ans et je travaillais dans les Bureaux de Wolfram & Heart un excellent cabinet d'avocat pas toujours très net. On défendait aussi bien l'innocent que le sérial Killer. Ce n'est que quelques mois après mon entrée que je découvris toutes les ficelles de ce cabinet. Il défendait aussi des créatures, et possédait des avocats très efficace mais non humain. C'est au cour d'une réunion nocturne que je rencontra Ange, une très jolie femme, sans scrupule. Nous étions sur la même affaire, elle travaillait de nuit, moi j'étais sa coéquipière de Jour. Depuis mon mariage ratée, je ne sortais que peu , la personne qui m'apporta un peu de joie fût sans doute Peter, je ne sais pourquoi. Ange un soir me convia à l'opéra, qu'elle ne fût ma grande surprise de voir Peter Anderson. La soirée fût très délicate, je me surpris à rire quelques peut en la présence de mes deux compagnons. Si seulement j'avais su qu'ils étaient identique l'un est l'autre. Alors que peut être , que maintenant je ne serais pas encore en vie.
Ange était devenue une confidente, mais aussi une grande amie, même si au fond de moi je sentais toujours la présence de quelqu'un je ne sus jamais qui veillait jalousement sous ma fenêtre chaque soir.
J'avais aussi beaucoup changée, j'étais devenue, une trés belle jeune femme qui ne cessait d'avoir de prétendant, pourtant mon coeur restait froid encore et toujours. Le brasier ne se ralluma pour aucun autre, même si quelques fois mes pensées étaient tournées vers lui, je ne pouvait lui pardonner, la honte que j'avais eu ce jour là, j'avais mon propre honneur et une haute estime de ma personne, certain verront par là de la vanité , moi je pense que c'est de l'orgueil. C'est par pur hasard et très certainement que je souhaitais me venger que je publia une date de mariage avec un collégue de travail David Lingerman. Je ne l'épousais pas par amour mais ça personne n'était censé le savoir. Ma tante venait de fermer les yeux et je me retrouvais donc à la tête de ses affaires florissantes, j'étais donc sur tous les front aussi bien dans la finance que dans la justice. Il me restais trois mois avant de me marier avec David.
Les mois s'écoulérent rapidement, le mariage fût somptueux , mais le bonheur de très courte durée. Une nuit on s'introduisit en ma demeure , et mon époux fût assassinée. Je ne pleurais pas, ce qui me rendait coupable. Heureusement on ne trouva pas de preuve contre moi, car j'étais innocente. Le légiste qui autopsia le corps de mon époux annonça qu'il n'avait plus une goutte de sang dans le corps , je frissonnais à son évocation d'attaque de Troma.
Suite à ça je me plongeais corps et âme dans le travail partant à droite et à gauche, c'est un soir d'été que j'embrassais ma nouvelle destinée, je somnolais dans mon jardin. Les yeux mi clos, j'entendais des bruits de pas qui s'approchaient, c'était Ange, elle s'accroupit à ma hauteur et me parla de longues heures.Ce qu'elle me confiait été pour moi une chose impossible, dans un souffle elle m'embrassa, c'est dans les bras d'une femme que je découvris le plaisir ultime avant de quitter dans un râle de plaisir ma vie de mortel. Je me souviens encore des tremblements de mon corps alors qu'elle se nourrissait, lorsque le froid m'envahit je pris peur et hurla son nom dans les ténèbres qui m'englobaient. Ce soir là je termina mon existence d'humaine. Mais Alexander ne vînt pas à mon secour. Je sombra lentement dans la mort du moins je le pensais.
Canine et Dragon :
La nuit suivante j'ouvris lentement les yeux , j'avais un mal de crâne impressionnant.Vous savez comme quand on à une bonne gueule de bois.Et j'avais cette sensation affreuse , un goût bizzare dans la bouche, un goût presque métallique.au début je pensais avoir rêvé, mais je dus me rendre à l'évidence. Que ce que j'avais vécu jusqu'à présent avait eu lieu. Dans la pénombre de cette immense pièce , je pus apercevoir le corps nu de Ange qui someillait à mes côtés. les yeux grands ouverts je découvrais lentement la pièce ou j'étais, étrange il ya vait une odeur qui m'attirait , je posa mon regard d'ou émanait la source de mon envie et là au horreur , il s'agissait d' un homme qui se tenait à deux pas de moi. Il était inconscient sur la moquette de cette chambre d'hôtel, j'avais faim je crois que c'est la sensation la plus effrayante que j'ai pu avoir , je me léchais les lèvres. Mon ouïe percevait le moindre son et j'étais hypnotisé par son rythme cardiaque. Tel un monstre je glissais hors du lit. Et fixait ce jeune homme appétissant. Hurlante et tremblante je quitta cette pièce obscur, et là le choc fût brutal, il faisait encore jour, à peine le rayon de soleil m'effleura que je hurlais de douleur sans comprendre, pourquoi le soleil m'était devenue nocif. Ma main était brûlée de manière si forte que je pris peur, me cloîtrant dans un placard de longues heures. J'étais donc devenu un monstre, les pleurs, la colère rien n'y faisait, j'étais damnées.
*Vos années en temps que Tromas : ( Votre morsure , A quoi ressemble celui qui vous à mordu ? Comment se comportait il avec vous ? votre apprentissage en temps que jeune Troma ? quelques anecdotes ? votre lieu de vie ? vos terrain de chasse préféré . Le style de vos proie ? *Votre Requiem : ( Qu'es ce qui vous motive ? votre place dans la société nocturne ? souhaitez vous aussi crée un jeune Troma comme vous avez été crée . Regrettez vous votre transformation ?
Signes particuliers : (Tatouage , piercing...) Armes: Points forts de votre personnage : Cruelle à l'extrême , une douce manipulatrice qui ne rêve que de carnage . Un habile diplomate , qui aime par dessus tout la diplomatie appuyée . Points faibles de votre personnage : Elle n'as pas de coeur , pas d'âme , pas de pitié
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