Une nuit de plus

Alice sourit, les humains avait dit pire chose en sa présence mais elle sourit gentillement et lui servit son verre d'eau, elle retira sa veste et retira l'étui de son sabre qu'elle déposa sous le bar a sa porté, en un tour de main elle serais armées, la porte ouverte laissait entrer un léger vent qui raffraichissait l'air de la pièce

"Pas besoin d'etre aussi gèné j'ai entendu pire"

Alice se servit un verre puis le but d'une traite, et se servit après un whisky sans glace

"Qu'est ce qui vous mène hors de la fondation et seule? En général quand les hunters se promène c'est armé jusqu'au dents et avec une escouade entière"

Alice sourit, il ne savait pas se que c'était d'être un assassin et ce jeune homme parlait déjà comme blasé par le temps, elle savait se que c'était d'être un assassin c'était tuer peu importe la race sans ressentir la moindre peine ni la moindre pitier

"Tu te rapelle cette assassin qui agissait il y a plusieurs années et qui signait ses crimes d'une rose noire?"

Alice regarda César, il ne la démasquerait pas mais elle voulait lui montrer qu'il était loin de l'égaler

"Etre assassin c'est une éduquation crois moi, c'est ne rien ressentir peu importe ta victime et sa très peu sont capable de le faire et bien lui ou elle peu importe en était capable, quand tu en seras capable c'est que cette chère mère la vie t'aura enlevé se qui te tient le plus a coeur"

Alice sourit, César ne connaitrait jamais son passé sa c'était une chose sur, elle avait réussi a se cacher ses 5 dernières années et personne ne la délogerait de son trous

La conversation s'engagea autour de son activité d'assassin. Même s'il se considéré plus comme un aventurier, sans contrat spécifique, ce qui le menait à chasser ce qui lui tombait sous la main.

" A quoi bon le passé ? A quoi bon signer ses actes ? Pour les reconnaitre ? Pour sur non, le propre d'un assassin est de rester dans l'ombre. Ce n'est que vulgaire prétention, cette foutue estime de soi qui flingue quiconque l'approche de trop près. Je ne connais pas cette homme ou cette femme mais je peux dire qu'il était soit carrément con soit trop fier de lui pour faire un tel métier. "

César était révolté par ce genre de propos et avait bien du mal à le cacher. Pour lui, être sadique et sans âme n'était pas synonyme d'efficacité, les quelques années passées seul à chasser le lui avait souvent prouvé.

" Il n'y a de meilleure éducation que la loyauté à sa cause. Grandir comme du bétail, chassé par des êtres immondes, c'est la meilleure éducation que je connaisse pour avoir de la détermination. "

Révéler ainsi sa vie n'était pas un problème habituellement, mais face à une personne dont il ignorait tout et qui était un danger potentiel, il devait se méfier et ne pas trop se dévoiler. Même si ces informations n'avaient aucune incidence...

" A quoi bon tuer sans sentiment ? Ce n'est pas un geste anodin et même la mort du plus faible à une répercussion. J'ai perdu mon grand-père dans une embuscade. Il n'aurait pas vu les prochaines lunes, il était destiné à nous quitter. Et pourtant, même la mort d'un condamné à beaucoup affecté notre communauté. C'est ce lien imperceptible que je cherche à chaque fois que je tue, pour savoir quelles vont être les répercussions. J'ai besoin d'avoir cette humanité pour faire souffrir mes proies. C'est aussi ça l'assassinat.
Ne pas savoir ce que l'on fait c'est au choix de la bêtise ou de l'aveuglement. Dans les deux cas on est pas maître de son destin et je m'y refuse. "

Alice sourit, deux fois en pau de temps qu'il la critiquait sans le savoir car l'assassin a la rose c'était elle, mais sa personne n'était plus vivant pour le révéler

"La proie a des sentiments et par respect d'elle et des siens je tue sans état d'ame, les meurtres que tu perpétues ne doivent pas te servir de thérapie, il y a bien d'autre chose qui sont la pour sa"

Mais Alice perdit son sourire en pensant a l'enfant qu'elle avait mis au monde et qui grandissait sans elle, a son adolescence et a son éducation pleine de haine envers les autres races

"Moi je dit que l'homme est maître de son destin jusqu'a ce que son destin le rattrape, un jour je mourrirais et se jour la la conscience des proches de ceux que j'ai éliminé sera surement soulagée"

Alice le regardait, elle avait sous estimer le jeune homme, le pensant fou et inconscient, en faite il était très réfléchis

Alice cette fois ci ne put s'empêcher de rigoler tout haut

"Excuse moi mais ta tête valait une photo et même un oscar, donne le moi sa ne sert a rien de te rendre malade"

Alice passa a l'avant du bar et alla fermé la porte d'entrée a clef. ELle revint et vida son verre d'une traite

"Oui bien sur, elle est dans la chambre"