Une nuit de plus

Tora fut surprise de la tournure des événements. Mais agréablement surprise. Ayant récupéré de quoi ressentircomme une humaine, elle frissonnait à chaque frolement de peau de César contre la sienne, et le baiser qu'il lui donna la fit répondre avec plus de douceur sauvage qu'elle se croyait capable. Elle passa ses mains négligemment dans les cheveux de César, en se frottant très doucement contre lui.

Elle passa rapidement ses mains sur le cou de César et sur les épaules, les frolant du bout de ses ongles longs. Elle griffait légèrement la peau tendre du jeune homme. Elle eut un léger sourire.

Elle se recula pour observer César. Elle griffa un peu son torse, frottant son bassin contre le sien avec malice, imitant avec une certaine moquerie des mouvements plus que flagrants.

Je vous donne des idées, César ? susura Tora d'une voix basse.

Elle sourit et se pencha son dos arqué, ses seins collés contre la poitrine de César, ses lèvres collées à sa peau, le bout de sa langue formant des cercles humides.

Vraiment ?

Ton qui laisse entendre le contraire. Tora se pressa contre César avec amusement. Elle était finalement contente d'avoir retrouvé ses sens simples mais plaisants d'humaine, et sentir ce coeur battre du meme sang que le jeune homme avait quelque chose d'excitant. Embrassant le jeune homme avant qu'il ne puisse répondre, elle le plaqua contre le montant du lit, frottant aisni son bas-ventre contre l'entrejambe prometteuse de César. Passant sa langue sur les lèvres du garçon elle lui sourit éfrontément.

Puis elle embrassa son cou en pressant ses seins contre César, passant sa langue sur la peau du garçon. Elle sentait son sang battre rapidement, à ses oreilles cela faisait un bruit sourd et régulier, qui lui rapella certains mouvements. Elle sourit et abaissa ses mains lentement sur le corps du jeune homme, pour poser au final ses paumes de mains sur l'entrejambe du garçon

Tora se vit basculer sur le dos, sans pouvoir rien y faire. Quoique, vu ce que faisait César, elle n'eut plus voulu le faire s'arreter. Son corps tout fraichement réchaufé d'un sang vif et jeune réagissait parfaitement . Elle se sentit meme la joie de frémir sous les caresses. Avec son Maitre, c'était si différent... Elle voulut se redresser mais les doigts de César la firent se cambrer et retenir un cri. Elle respirait un peu plus fort, et passa ses mains sur le visage de César. Elle ferma les yeux, attendant l'heure où sa petite vengeance viendrait. Alors qu'elle sentait l'humide langue passer sur son corps, elle se redressa presque de surprise. L'endroit où César s'aventurait la faisait frissoner presque violemment, et elle mordait sa lèvre inférieure pour ne pas gémir. Elle aurait voulu inverser la situation, mais en meme temps, elle dut s'avouer à elle meme que le jeune homme savait y faire, et elle retomba, la tete tournée, les yeux mi-clos, la respiration haletante, sentant ses cuisses frémir et le sang battre comme un fou dans son corps. Elle se redressa et mit d'un coup rapide César sur le dos. Elle ne voulait plus rester à rien faire et se mettant à quattre pattes sur le jeune homme, plaça deux deux sur ses reins et fit basculer le caleçon. Un léger sourire fendit son visage, tandis qu'elle sortit sa langue et se mit à passer de vigoureux coups sur la peau fine et douce de l'entrejambe de César.

Tora sentait César s'activer et elle se sentait trembler sous les coups de langues de celui-ci. Ses mains s'amusaient et elle sentait le sang battre dans tout son corps. Souriant doucement, elle s'amusa tout d'abord à passer de grands coups de langues sur la hampe dressée devant ses yeux. César ne pouvait plus rien cacher et Tora sourit. Elle pouvait maintenant s'amuser, elle aussi. Plaçant le sexe entre ses lèvres, délibérement entre ses crocs, elle passa sa langue autour, sans pour l'instant faire de mouvements. Laissant son corps en appui sur son coude, elle plaça sa main sous l'entrejambe durcie et caressa lentement la peau fine sous a virilité, puis les testicules du bout des doigts. Elle sentait une vague de chaleur se répercuter en elle et se mit à faire de grands mouvement de va et vient, tout en titillant du bout de la langue le sexe du jeune homme. Le sortant de sa bouche, elle palça le bout de l'entrejambe entre ses lèvres et le suçota doucement, passant sa langue dessus, et commença à faire des mouvements de va et vient avec sa main. Elle frottait ses seins contre le ventre de César. Ses longs cheveux chatouillait sa peau et celle de César, et ses yeux de chats distinguait la sueur sur le cops du jeune homme. Elle meme ne transpirait pas, mais sentait la moiteur de sa féminité s'affirmer de plus en plus en sentant les coups de langues de César. De légers gémsisements montaient de sa gorge, tandis qu'elle s'affairaient un peu plus sauvagement sur César.

Tora poussa un gémissement qu'elle ne pu retenir. Elle ferma les yeux pour se contenir mais se sentait trembler. Elle pressa plus fortement ses lèvres et se mit à aller plus vite et plus fort, comme pour faire à César ce qu'il lui faisait ressentir. Elle commençait à avoir très chaud, et sentait son sang tourner rapidement. Elle se redressa, se retourna pour faire faire face à César et l'embrassa avec une sauvagerie animale. Elle entrouvrit les levres tandis qu'elle melait sa langue à celle de César. Elle frotait de son intimité contre celle de César, s'aggripant à lui de ses mains, le corps tremblant.

Elle l'observa de ses eux sombres et brillants et eut un sourire. Haletante, elle griffait la peau de César, se pressant contre lui. Elle frottait son entrejambe contre la sienne, le souffle court.

Tora s'aggripa à César quand il vint finalement à elle. Elle posa son front contre son épaule, haletant contre sa peau, serrant les dents pour éviter de pousser quelques gémissements. Elle releva la tete et s'amusa à froler de ses lèvres celles de César. Elle observa alors à quel point il semblait appéricer tout cela. A son grand étonnement, elle aussi appréciait ça. C'était si différent d'avec le Maitre, c'était si... à la foix doux et sauvage, avec une pointe d'étrangeté chaude et sensuelle. Elle frotta sa poitrine contre celle de César, titillant sa peau de ses tétons. Comme c'était étrange de ressentir une telle chaleur alors qu'habituellement vous étiez habitué à prendre celle des autres. César, ennemi tout d'abord puis amant d'une nuit. Tora ferma les yeux quelques secondes tandis qu'elle frissonnait, accompagnant le mouvement de César, allant lentement volontairement comme pour le faire patienter jusqu'a ce qu'il ne puisse plus. Elle se blotti contre son épaule. Cela faisait longtemps qu'elle n'avait été si dénué de force devant quelqu'un. La seule personne qui l'avait vu en telle position de faiblesse "tait celui qu'il l'avait initié à tout : vie vampirique, plaisirs...

Elle poussa un gémissement près de l'oreille de César, puis passa le bout de sa langue sur son oreille, haletante, aggripant ses seins pour les frotter contre le jeune homme.

Tora pousse un léger cri de surprise quand César s'en prit à ses seins. Les muscles tendus, elle passa ses mains dans ses cheveux. Il la renversa alors, sauvagement. Tora le regarda, les pupilles dilatées, ses cheveux blancs éparpillés. Elle sourit doucement. César lui souriait aussi. C'était étrange, cette manière de s'aimer et de se détester. Tora tourna la tete et ferma les yeux, son corps allongé. Elle haletait doucement, enserrant les reins de César de ses jambes freles. Elle se redressa légèrement sur les coudes. Elle resta à l'observer doucement, accompagnant ses mouvements des siens. Elle l'embrassa très lentement. Puis d'un coup de rein inversa la position, se retrouvant sur lui, à le chevaucher. Elle eut un léger sourire, se pencha sur lui et se mit à bouger rapidement, tremblante et haletante. Elle sentait son coeur battre plus fort qu'il n'avait jamais battu. Quelle étrange sensation, bien plus forte que celle que le Maitre, à la beauté glaciale, avait pu faire naitre en elle, alors que cet humain si éphémére...

Cé..sar...

Tora se blottit contre lui, sentant ses muscles se tendre petit à petit, annoncant la vague de chaleur qui la submergerait. Elle accéléra encore un peu, controlant de moins en moins son corps.

Tora sentit César accélérer en meme temps qu'elle et au final se relacher lentement. Il s'afaissa sur le lit, la collant contre lui. Tora ferma les yeux, totalement exténuée. Elle jeta un regard vers la fenetre, et l'aube se lèverai dans quelques heures. Elle avait encore un peu de temps. Elle eut un sourire.

Demain ?...

Tora se redressa et lui jeta un sourire aguicheur.

Pourquoi demain , César ?...

Son ton ne laissait rien préssentir de bon pour le jeune homme qui était physiquement fatigué. Tora était morte de fatigue mentalement, son corps n'ayant plus la fatigue humaine à porter. Elle eut un petit rire cristallin et se déserra de l'étreinte de César. Elle l'embrassa lentement, puis s'abaissa sur lui. Elle passa le bout de sa langue sur sa peau en formant des cercles, puis titilla son nombril. Elle pressa ses seins contre l'entrejambe fatiguée elle aussi de César. Puis, amusée, elle s'amusa à gémir fortement, regardant malicieusement César droit dans les yeux.

Tora sourit. La réponse de César la satisfaisait. Qu'étaient-ils en train de lier, durant cette nuit sombre, le jour meme de leurs rencontres, ennemis se haissant et... s'aimant ?

Tora sourit et s eredressant un peu sur elle meme, assise sur ses talons, elle adressa un coup d'oeil rapide à César, qui souriait aussi. Il semblait cependant trop fatigué pour avoir la force de refaire ce qu'ils avaient faits. Elle sourit et passa sa langue lentement jusqu'au bas ventre de César. Puis, s'emparant entre ses lèvres du bout de la hampe qui se redressait déjà avec toute la vigueur d'un petit soldat (XDD), elle le pressa entre ses deux seins. Elle se mit à faire des cercles de sa langue, tout en frottant ses deux seins contre la peau douce et encore humide.

Tora fut plutot fière de voir comme César était resistant, et elle fut plutot surprise quand il recommença à la dominer, rempli de ce désir qui lmes brulaient il y avait si peu de temps. Elle embrassa lentement César. Elle caressa les reins du jeune homme de ses cuisses, haletant volontairement contre lui pour l'exciter. Elle frotta son entrejambe encore humide contre la cuisse du jeune homme, souriant malicieusement.

Deux espèces naturellement ennemies, réunies dans un lit, unies par l'amour, qui pourrait le croire ? C'était si étrange, elle qui n'était pas sensé ni vivre, ni aimer, et César qui était son ennemi et qui se devait de tuer ceux de son espèce...

Elle prit le sexe du jeune homme entre ses mains et frotta le bout contre l'entrée humidifiée de son entrejambe, observant malicieusement les réactions de César.

Tora sentait battre le coeur de César. Il l'observait doucement et elle pouvait lire dans ses yeux la lueur étincelante d'une émotion plus que passionnée. Elle sentit César la pénétrer de nouveau, et elle cria. Elle sentait la présence si agréable en elle, qui remplissait le vide dont son coeur était plein. Elle se demandait si c'était là sa manière d'aimer...

Elle enlaça César, se pressa contre lui, gémissant non plus volontairement mais sous les coups saccadés de César. Elle haletait rapidement. Elle aurait voulu etre capable de possèder César comme elle se sentait possédée. Tora sentait l'emprise qu'il avait sur elle. Elle se demandait d'ou lui venait cet étrange sentiment si profondément enfoui et qui refaisait surface.

César...

Simple murmure, elle enserra le bassin plus fortement de César, l'invitant à aller aussi vite qu'il pouvait, l'accompagnant pour l'aider dans ses mouvements, sachant qu'il devait etre un peu fatigué.

Tora haletait et les paroles hachées de César résonnèrent à ses oreilles étrangement. Elle eut envie de pleurer. Mais elle se redressa, assise sur César, lui faisant face. Elle sourit gentimment et l'embrassa fougueusement. Elle accéléra plus le mouvement, se blotissant contre lui, sentant se corps se raidir un peu. Elle faisait de longs et rapides coups de reins, languissants, gémsisant un peu. Elle se serra contre César, haletante.

Cet humain était extraordinaire, eclipsant la maitrise de son maitre... Ou peut-etre était-ce elle qui était étrange ? Elle sentait le sang battre en elle, et celui de César battre contre sa joue. Une idée lui traversa l'esprit. Elle hésita mais chercha de la main celle de César. Elle la prit dans la sienne, et la leva près de son visage. Elle savait où les points humains se trouvaient, et certains pouvaient tuer comme d'autres faire éprouver une extase intense. Elle examina le bras de César et trouva finalement le point d'un plexus découvert par les vampires. Elle regarda César et, s'asseyant plus fort pour le faire entrer le plus en elle, elle mordit lentement sur le point du plexus.