Une nuit de plus

visteur Nombre de messages : 113 Age : 35 Date d'inscription : 08/03/2007

La promiscuité des corps rendait César réceptif aux moindres variations dans l'attitude de son amante. La sentir s'embraser comme cela lui procurait un plaisir intense et décuplait son ardeur. Il accéléra ses mouvements encore plus jusqu'à un quasi épuisement. Il ne pouvait plus aller plus vite mais n'était pas prêt à s'avouer vaincu tout de suite, il aimait trop faire l'amour avec une force comme celle-là. D'ailleurs, le plaisir était tellement fort qu'il l'empêchait de se relâcher, lui ôtant de nombreux râles et soupires de plaisir.

Lorsqu'il l'entendit gémir et se positionner pour lui donner plus de vitesse encore, une nouvelle vague le submergeat et il soupira longuement.

Plus le corps à corps durait plus le plaisir s'intensifiait, se transformant parfois en douleur. Au bout d'un instant, la tension fut trop forte et César s'affala sur le dos après avoir jouit en Tora. Il n'avait jamais eu un plaisir si intense, son sexe redemandant encore plus de mouvement malgré qu'il se soit libéré. César recommença machinalement de légers mouvements de va et vient, sentant les fluides des deux sexes se mélanger dans l'intimité de son amante.

visteur Nombre de messages : 87 Age : 32 Date d'inscription : 30/09/2007

Alors qu'elle le sentait pret, elle poussa un rale, la vague de chaleur la submergea, et elle se retint de tomber en avant sur son mant de ses deux mains, ses bras flaggoellants un peu. Elle haletait, soncorps en redemandait, respirait rapidement et criait des encore, poussant des soupirs et de légers gémissements. Elle sentit les mouvements de va et vient de César, qui semblait en redemander aussi. Elle sourit et, se soulevant pour retirer César de son intimité, sentit couler doucement sur ses cuisses le mélange de leurs jouissances. Elle s'accroupit sur le lit et donna de légers coups de langues sur l'entrejambe de César, semblable à un chat avec ses grands yeux aux pupilles fendues et ses gestes précautionneux et graciles. Elle s'empara de ses seins à deux mains et frotta l'entrejambe entre eux, donnant de très légers coups de langue comme pour réveiller l'intimité de César, comme pour l'éveiller à ce petit jeu. Elle sentait la légère morsure des liens et des portes jaretelles sur ses cuisses, mais préféra les laisser là où ils étaient. Elle lança un coup d'oeil à son amant, osant un léger sourire satisfait.

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Il sentit finalement Tora se lever de son sexe encore prêt pour recommencer et put sentir leurs fluides glisser lentement sur sa peau encore chaude des frottements qu'elle venait de subir. Il poussa un soupire satisfait, comme s'il était content qu'un tel rodéo s'achève bien qu'il n'en ai pas eu l'envie.
Puis, il put le sentir la jeune femme s'assoir sur le lit et commencer à s'affairer sur sa hampe dressée. Les coups de langue firent haleter César qui poussa quelques légers râles. La torture venait de commencer...
Puis les seins de Tora enserrèrent le sexe de César pour effectuer des mouvements de va et vient. La chair tendre et sensuelle de la poitrine donnait à César des envie de volupté. La friction était semblable à celle de la soie, sensuelle, douce et finalement désirable.
Sa main se dirigea vers la féminité de sa partenaire où ses doigts fouillèrent l'intimité humide du mélange des deux fluides.

Finalement, son autre main se dirigea aussi vers le bas ventre de Tora mais pour la faire pivoter sur lui. Il sentait toujours la caresses des seins sur son sexe mais pouvait maintenant profiter un peu mieux de son amante. Tandis que sa main fouillait toujours son intimité, l'autre se dirigea vers un endroit plus insolite pour y faire pénétrer un doigt qui n'eu aucune peine à rentrer. Tora était tellement excitée que tout son corps ruisselait de perle d'eau...

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Tora se laissa transporter doucement et tressaillit en sentant les doigts de César fouiller ainsi son intimité. Elle pousa un léger gémsisement quand l'un de ses doigt se mit à fouiller un autre endroit. Elle ne s'était pas attendu à cela, mais se remit rapidement de sa surprise pour donner de grands coups de bouche et de seins au sexe de César. Elle donnait de grands coups de langues sur la peau fine, et pressa plus fort ses seins contre la hampe de César. Elle laissa sa langue humidifer de sa salive chaude la peau de César et s'amusa à titiller le dessous de son entrejambe avec ses doigts. Elle alla plus vite encore, entendant les rales de César, essayant elle-meme de ne pas gémir, tressaillant cependant sous les caresses plus qu'intime de César.

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César tressaillit plusieurs fois sous les coups de langues et les mouvements de seins de Tora. Elle était insatiable et à vrai dire celà lui plaisait. Il aurait voulu recommencer comme tout à l'heure mais différemment... Ses doigts s'agitèrent dans l'intimité de la jeune femme, s'amusant à chercher le point du plaisir, espérant qu'il marcherait pour un vampire. Entre les fesses de Tora vint s'ajouter un second doigt, afin de lui procurer plus de frissons.
Il pouvait sentir l'effet qu'il lui faisait, en voyant son ventre se tendre et se détendre sous l'effet du plaisir.
Il voulait la déshabiller, lui arracher ses vêtements comme une bête, la bête avide de sexe qu'elle en avait fait...
Il sourit narquoisement, il venait d'avoir une idée. La jeune femme ne pouvait le voir mais se doutait-elle de quelque chose... ?

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Tora poussa un gémissement étouffé et tressaillit plus fort, sentant ses muscles se tendrent. Elle ferma les yeux et hésita. Elle s'était promis de ne plus boire son sang ni de le mordre. Elle laissa donc ses seins pressés contre l'entrejambe de César et, abaissant légèrement la tete, passa sa langue sur les deux ornements. Elle un pris une entre ses lèvres, la roulant avec sa langue entre ses lèvres, suçotant la peau douce. Elle passa à l'autre, faisant de meme, pressant de plus en plus la hampe de César entre ses deux seins. Elle titilla quelques secondes de ses tétons le sexe de César et retourna à ses occupations. Comment pouvait-elle deviner lespensées de César, derière elle, qui mijotait quelque chose ?

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Tora semblait apprécier ce qu'il faisait ce qui l'incita à en faire plus, à lui donner un orgasme qu'elle n'oublierait jamais et que tout le monde entendrait aux alentours. Cette idée en tête, il se terira de la pression de son amante et enleva ses doigts.
Elle était à quatres pattes, position idéale pour recommencer à faire l'amour. Cela ne demandait pas beaucoup d'effort et produisait un plaisir intense.
De plus, les orifices de la jeune femme ne demandait qu'à être comblés, du moins d'après ce qu'il avait put en ressentir...
Il dirigea son sexe vers celui, encore humide et chaud, de Tora et y pénétra doucement, pour la réhabituer à cette présence chaude et virile. Il entama quelques mouvements de va et vient lents et saccadés.

Il intensifia ses assauts lorsqu'il la plaqua contre sa pointrine, à genoux tout les deux, fixant le mur en face d'eux, il pouvait lui caresser le clitoris et le bas ventre, sentant le plaisir monter en elle au rythme de assauts passionnés de son amant.

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Tora poussa un grand cri, passionné, à la fois de surprise, de désir, de plaisir et un peu de douleur. Elle serra les dents et la douleur se calma, laissant place à une grande chaleur, et lorsque César la plaqua contre son torse, elle passa ses mains autour de son cou, gémissant amoureusement à ses caresses.

Elle sentait cette nouveauté, toute nouvelle pour elle, lui plaire, et César semblait apprécier lui aussi cette nouveauté à sa juste valeur. Elle donna quelques coups de reins pour accompagner son amant, passant ses mains sur son corps, essayant de tempérer ses ardeurs, sentant son corps moite contre celui de César.

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Tora tout contre lui, il avait l'impression d'une réelle fusion. Un sentiment de bien être l'envahit, il aimait être avec elle, que se soit sexuellement ou pas, il aimait pouvoir flairer cette délicate odeur sur sa peau ou celle musquée de sa féminité moite de désir. Lorsqu'il était avec elle, il ne répondait plus de rien et laissait libre cours à ses envies, ses fantasmes...

Comme pour faire durer le plaisir, il se retira lentement de Tora afin de pouvoir libérer la place pour sa langue qui fouilla l'intimité humide de la jeune femme, lui caressant le bas-ventre et la poitrine.
Cet interlude passé, il voulu repartir à l'assaut du corps offert à lui. Cependant, il voulait de la nouveauté, surprendre sa partenaire et lui offrir de nouvelle sensation. Il avait retenu des nuits précédentes que la morsure procurait un genre d'orgasme chez les vampires aussi sourit-il... Mêler plaisir humain et vampire ensemble, quel allait être l'effet ?

Toujours en train de lécher les lèvres rosées de son amante, il approcha sa bouche du clitoris et commença à le mordillait légèrement...

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Tora poussa un cri et se cambra. Le mélange de douleur et de plaisir la chauffaient comme un tison ardent, au niveau du bas-ventre. Elle s'aggripa au drap, trempée de sueur, haletante, les yeux fermés. Elle avait envie de sentir César en elle de nouveau.

César...Ha....S'il te...pl..ait...

Elle essayait de parler, entrecoupée par des halètements pour reprendre difficilement sa respiration, coupée par les vagues de feu qui se battaient en elle, les caresses de César se faisant plus précises et plus ardues.

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César éprouvait un plaisir pervers à mordiller ainsi le point sensible de Tora. Il continua donc à la mordiller puis, après avoir relevé la tête et fait un sourire enjoleur à sa partenaire, il retourna entre ses cuisses. Après quelques morsures un peu plus appuyées, il mordit franchement dans la chair tendre, rosée et gorgée de plaisir.
La réaction vu brutale et violente, Tora se cambra à l'extrême, à la limite de se rompre les os, ses cuisses se refermèrent puissament sur César qui eut le réflexe d'enlever sa tête à temps. Tous les muscles de la jeune femmes se tendirent, son corps se figea en une statue vivante.

Un long cri, puissant, aiguë, déchira le ciel. Nul doute que tout le monde en bas l'aurait entendu.

César se lécha les lèvres, encore imprégnées de quelques gouttes du sang de Tora. Il ne l'avait pas mordue trop puissament pour ne pas la faire saigner et qu'elle puisse encore profiter de la jouissance de son amant.
Il passa sa main sur l'intimité brûlante de la jeune femme, comme pour l'apaiser avant le feu d'artifice à venir. Il avait encore envie d'elle, de se libérer en elle, de lui montrer à quel point il la désirai, il l'aimait.

Quelques secondes plus tard, le souffle court, la respiration haletante, gémissante, elle se détendit et s'affala presque évanouie sur le lit.
Rongée par le désir, César ne pouvait pas la laisser ainsi, sans l'avoir satisfaite une nouvelle fois. Cependant, il ne voulait pas profiter d'elle sans qu'elle en profite et avait une petite idée pour qu'elle reprenne esprit.

Il la prit contre lui, il pouvait sentir son dos qui battait sous l'effet du coeur. Ce coeur qui battait si fort, un peu plus vite et elle en mourrait... de plaisir.
Le sexe, encore brûlant et dressé, de César se présenta entre les fesses de son amante. Il y pénétra difficilement, c'était étroit mais tellement bon. Sa virilité était serrée dans l'orifice chaud et d'une moiteur désirable. Une fois bien à l'intérieur, il entama quelques va et vient lents et assurés. Il pouvait sentir la douleur que la jeune femme ressentait et ne tenait pas à le brusquer de trop. Au fur et à mesure, la pression sur le sexe de César diminuait, lui laissant plus de possibilité de mouvements. Les cris et gémissements de douleur de Tora furent remplacés par des cris, des halettement et des gémissements de plaisir. Tora avait finalement acceptée cette présence en elle et en éprouvé un plaisir inconnu.

Tandis qu'il la pénétrait de plus en plus rapidement, il lui caressait l'intimité, comme un baume apaisant et un excitant certain. Il serra le clitoris de son amante entre deux doigts de son autre main lui arrachant de grands cris de plaisir. Il l'épuisait vraiment, comme il ne l'avait jamais fait, comme elle ne l'avait jamais été. Ses jambes se dérobaient, ses muscles se tendaient, tout en elle résonnait du plaisir infini qu'elle ressentait.

Comme si cela ne suffisait pas, César commença à mordiller l'épaule de sa partenaire avant de remonter jusqu'au cou, où il s'aventura sur la jugulaire. Il la sentait battre à une vitesse intense, le flot de sang était presque ininterrompu... Alors qu'il accélérait les mouvements et qu'il se sentait venir, il commennça à la mordre.

Alors qu'il ne pouvait plus se retenir, il enleva ses mains de la féminité de Tora pour s'allonger sur elle, à quattres pattes. Lorsqu'il se relacha en elle, il la modit au sang.

Les deux amants émirent un cri foudroyant. Le râle sourd et puissant de César se mêlant à un gémissement aiguë et sifflant.

Il s'allongèrent, sur le lit, quasiment inanimés, César ayant juste la force de se séparer de Tora.

Il lui souffla à l'oreille.

" Mer...ci... Je... T'aime... "

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Tora s'affala sur le lit, épuisée comme jamais elle ne le fut dans sa vie humaine, elle sentait la moindre parcelle de son corps parcourue par un frisson égale à un choc électrique, sentant son corps tressaillir encore un peu. Elle se blottit contre César, le souffle court, répondant à ses caresses d'une lenteur langoureuse. Elle ne se sentait plus d'attaque pour quoi que ce soit, espérant que son amant était aussi fatigué qu'elle pour qu'ils puissent dormir enlacés.

Je ... t'aime...

Elle se retourna, se blottit contre la poitrine de César dans laquelle elle sentait son coeur battre puisemment. Plus d'envie de mordre, cela la rassurait. Elle ferma les yeux, et enserra la taille de son amant de ses bras freles. Elle embrassa d'un léger baiser son épaule et s'endormit doucement, berçé par le souffle de plus en plus régulier de ce dernier.

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Le corps tremblant, frissonnant de plaisir, César était sensible au moindre contact. Celui de son amante était doux, chaleureux, reposant malgré le désir ardent dont ils avaient fait preuve un peu plus tôt... En effet, son corps n'aspirait plus qu'au repos, un repos bien mérité.
Elle était allongée sur lui, recouvrant son corps de toute sa splendeur de femme et pourtant il ne la désirait plus... ou plus de la même façon. Il voulait être avec elle dans un moment de repos serein et voluptueux. Le souffle court de son amante glissait sur sa peau, un souffle brûlant, qui trahissait les efforts déployés quelques minutes auparavant.
Les mots de la jeune femme le rassurèrent. Elle ne comptait pas le lâcher malgré sa race. Bien qu'elle lui avait déjà dit, il préfèrais l'entendre à nouveau, se sentir aimé était quelque chose de beau, de désirable.
Il espérait pouvoir le remontrer un jour qu'il l'aimait bien plus que physiquement mais cette idée lui sembla s'éloigner, ses yeux se fermant sous l'effet des caresses de Tora.
Il remonta les draps sur eux, l'enlaça et déposa un baiser sur sa joue. Elle dormait. Il aurait put la regarder mais n'en avait plus la force. Il s'endormit.

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Tora se redressa et s'étira comme un chat. Elle repoussa ses cheveux et sourit doucement en voyant son amant encore endormi. Elle caressa du bout des doigts son visage. Elle chassa une mèche rebelle et se leva. La journée était passée et la nuit était tombée comme un voile sur la ville. Elle sh'abilla rapidement d'une chemise, d'un pantalon et mit le corset au dessus du vetement pour soutenir sa poitrine. Elle s'accouda à la fenetre qu'elle ouvrit silencieusement. Elle laissa le vent éparpiller ses cheveux et se recula. Elle observa César et s'approcha de lui. Elle ne pouvait pas s'en empecher : elle déposa un baiser sur son front. Puis, elle descendit pour aller au bar. Elle sentait dans son corps des courbatures inhabituelles, elle ne ressentait cependant pas le besoin de se nourrir. Allant s'asseoir à une table, regardant la foule d'un air morne, elle s'accouda sur la table et observa les gens, l'air curieuse. Un homme s'approcha d'elle doucement et elle se retourna, alors qu'il lui caressait les cheveux. Un sourire passa sur le visage de son Maitre. Les cheveux gris de celui ci fltotait autour de son visage.

Comme tu as changé.

Pourquoi ne revenez-vous que maintenant ?

Tora se leva et enlaça son maitre doucement. L'étreinte paternelle s'arreta et le maitre tourna la tete dans toutes les directions.

Une odeur sur ton corps me prouve que tu as eu un compagnon. Ou est-il ?

Tora rougit et retourna s'asseoi, accompagnée de Razeem.