Une nuit de plus

Tora léchait le sang lentement, sachant que lorsqu'elle retirerait ses dents, César éprouverait un orgasme plus puissant qu'il ne pourrait en sentir jamais. Il lui parla, et ses paroles la surprirent. Il était sentimental, finalement, ce grand assassin ? Tora sourit et donnant un grand coup de bassin, retira ses croc de la blessure qui s'arretait de saigner sous l'effet de sa salive. Elle le sentit relacher en elle, et elle l'embrassa , juste à ce moment, en gémissant d'un plaisir inconnu encore: elle sentait quelque chose monter en elle, quelque chose de si fort qu'elle eut presque peur de se faire emporter. Elle poussa un léger cri et s'allongea sur César. Elle était finalement arrivée au bout de ses forces. Elle sentait ses muscles trembler, et son entrejambe battait de son sang bouillonnant.

Elle regardait César, les yeux fermés. Elle s'approcha de son oreille.

J'ai besoin de toi aussi, petit humain. Mon cher amant.

Elle sourit et se redressa, laissant César sortir d'elle. Il devait etre exténué, et elle devait dormir. L'aube pointait. Elle ferma les volets, priant pour que César ne la réduise pas en cendres au matin en les ouvrant. Elle alla se blottir contre lui, sous les couvertures. Ses cheveux soyeux étaient collés à son dos. Elle embrassa les paupières de César doucement. Presque avec amour. Non. Avec amour. Elle était à présent sure de ce qu'elle avait lié avec lui.

Tora, blottie contre César, avait cru entendre quelque chose mais elle crut avoir revé et après avoir jeté un coup d'oeil aux volets fermés, elle s'endormit rapidement, apaisée de la colère qu'ele avait eu en rencontrant cet amant.

Tora se dressa soudain. Papillonant des yeux, elle ne se rapella d'abord pas où elle était et se jeta à terre d'un bond, prete à mordre. Puis, en voyant César endormi, elle se rapella et s'asit sur le sol, muette, un sentiment étrange lui nouant le ventre. Elle l'avait mordu! Elle avait osé défier les règles du code vampirique et avait mordu un humain pour le plaisir de celui-ci et non le sien propre, quoique... Il y avait bien eu des vampires rebelles qui l'avaient faits mais ils avaient vécus si durement... Cependant, en voyant César dormir doucement, sa respiration calme, Tora sourit. Elle ne regrettait pas. Elle sentait encore les sensations et le sentiments qu'il lui avait donné, tellement plus puissants que ce que lui avait donné son Maitre.

Ho, César...

Elle se pencha vers lui et caressa lentement sa joue. Puis se retournant, elle prit une des chemises du jeune homme et s'habilla rapidement avec. Elle avait une épaule dénudée et trouvait cela charmant, émettant une petite rire cristallin. Sentant la nuit comme les animaux nocturnes peuvent le faire, elle alla ouvrir les volets, et la fenetre pour sentir l'air sur sa peau.
Elle se rapellait la nuit qu'ils avaient passés... Et elle se rendit compte que le jeune homme avait réanimé sa nature humaine, car elle l'aimait d'une émotion étrange. Elle ne pouvait définir la manière dont elle l'aimait, mais elle était sur de cela : de son amour pour cet amant étrange et si différent d'elle.

Tora entendit César qui bougeottait derrière et se retourna alors qu'il la saluait.

"Bonsoir..."

Tora sentait son ventre se renouer un peu. Mais ce n'était pas de l'anxiété, plutot le fait de savoir si cette nuit allait etre parielle à celle de la veille ? Elle sourit et alla s'asseoir sur le lit, face à César. Elle aplatit un épi avec sa main. Il avait l'air en forme pour un humain au réveil. Elle rit de son petit rire cristallin et déposa un baiser sur son front.

Tu as bien dormi après la nuit dernière ?

Petit sourire en coin. Elle-meme avait dormi de ce sommeil de mort. Mais elle savait que si elle avait été humaine, elle aurait revé de lui, et de leurs ébats. D'ailleurs, à présent, elle commençait à y repenser... Mais son corps s'était refroidi depuis. Elle devait boire.

Tora le regarda doucement. Fermant les yeux, elle retint une réplique cinglante. " Si j'avais voulu, j'aurais pu te tuer!"... Cela naurait servi à rien d'énerver le jeune homme.

Je t'ai déjà dit que je ne tuais pas, non ? Ou alors quand l'on m'y obligeait.

Elle se redressa et alla s'adosser à la fenetre, fixant froidement César. Elle avait beau etre vexée par la remarque négligente de son amant, elle ne le désirait pas moins. Elle s'en voulut de ne pas pouvoir se controler assez. Elle soupira. Puis passa son regard par la fenetre et sourit. Elle leva les mains et ferma les yeux. Puis se mit à siffler doucement, s'asseyant sur le rebord d'une façon insolente. Meme César put voir la chouette approcher et se mettre devant Tora. Tora leva le doigt, sans s'arreter de siffler, et l'animal vint s'y percher, comme envouté. Puis Tora planta ses crocs dans la petite créature. Elle but un peu, de quoi se réchauffer un peu, et la relacha. L'animal était offensé et comme ivre, mais il s'en alla à tire d'aile.Tora, les joues rouges et les yeux brillants se tourna vers César, hautaine et insolente dans sa réponse aux paroles du jeune homme. Elle s'approcha de lui à pas de félin et se pencha vers lui.

Bien. Ce soir, je vais explorer d'autres plaisirs...

Sa voix était languissante, et sensuelle. Elle sourit à César, doucement.

Tora regarda César, allongé sur le dos. " Je ne veux pas te perde!"...Tora le regarda, surprise et étrange, elle ressentait le meme attrait pour lui qu'il le ressentait pour elle. Il jouait avec elle, et lorsqu'il alla s'habiller, Tora fronça les sourcils.

Si je ne puis m'amuser avec toi, dois-je aller voir ailleurs ?

Léger sourire. Elle se leva et s'approcha de lui, discrètement, le laissant répondre. Puis, passant ses bras sur son dos, elle griffa le tissu du vetement dont il s'était vetit. Elle le fit glisser sur les épaules du jeune homme, pour créer un doux froissement sur sa peau. Elle laissa tomber le vetement et déposa un baiser au milieu du dos du jeune homme, en souriant. Elle n'avait pas eu l'inention de partir ailleurs. Elle voulait lui faire gouter d'autres plaisirs que ceux de la nuit dernière. La réponse jalouse de son amant la fit sourire. Elle se mit lentement face à lui et lui sourit gentiment. Avec, dans le regard, comme une invitation.

César... Je t'aime.

" Si tu ne peux pas t'amuser avec moi... tu redeviendras une ennemie... "

Il eu un regard froid dans lequel la jeune femme pouvait cependant voir pointer une lueur de sarcasme moqueur comme celui d'un enfant qui s'amuse à faire tourner ses parents en bourrique.

Il la laissa faire, comme mystifié par sa présence. Ils ne pouvaient pas rester indéfiniment dans la même chambre à se faire du bien mais après tout, où était le mal ? Et puis elle savait le motiver à ça, bien qu'il ne lui opposa pas une résistance farouche.
Le baiser qu'elle lui donna eu un rôle de déclencheur, il renonça à sortir ce soir et explorerait avec elle de nouvelles sensations.
Lorsqu'elle s'approcha de lui, il frissona de désir et il dirigea ses mains vers les cuisses de Tora.

A ses paroles, il la regarda étonné. Il ne s'attendait pas à cela, tout comme il s'était surprit à dire la même chose avant de sombrer, au matin.

Il répondit simplement :

" Je sais. "

Il la prit dans ses bras, il voulait la sentir à ses côtés, apprécier sa présence, juste sentir sa peau contre la sienne.
Alors qu'il l'enlassait, il lui déposa un baiser dans le cou avant de lui souffler à l'oreille.

" Je t'aime aussi. "

Ses mains se baladèrent le long des formes de la jeune femme, sur ses hanches, ses cuisses, son dos,...

Tora se tendit un peu. Tout cela commençait bien, mais elle souhaitait voir d'autres choses. Après tout, si l'on devait recommencer les memes choses à chaque fois, ça deviendrait presque lassant...Elle poussa un léger soupir en sentant les caresses de César, et se redressa, cherchant à quel jeu ils pourraient jouer. Elle eut un sourire et se retourna, le dos à César, son entejambe entre ses cuisses. Il pouvait parfaitemenent sentir son humidité contre sa virilité et Tora titilla de son doigt le bout de l'entrejambe de César. Elle voulait s'amuser un peu avant de passer aux choses sérieuses. Elle commença de lents mouvements de va-et-vient avec les mains, puis avec son bassin, frottant de ses fesses le ventre du jeune homme et de son sexe celui de César. Elle s'amusait à le torturer un peu, pressant de ses paumes contre l'entrejambe gonflée du garçon. Elle se pencha un peu et passa de légers coups de langues sur le bout du sexe du jeune homme, puis se redressant, accéléra ses mouvements, sentant le coeur de César battre plus fort.

Tora ne s'attendait pas à ce que César fasse cela, et elle s'accrocha aux draps par surprise, et se cambra sous le soudain coup de rein pour qu'il s'enfonce en elle. Elle n'avait pas imaginé cette position, mais ils pouvaient toujours faire ce qu'elle avait imaginé un peu plus tard. Elle se redressa un peu, laissant ses cheveux tomber sur son dos. Elle ferma les yeux, sentant la virilité de son amant en elle. Elle se leva et s'abaissa, commençant de très lents mouvements de va-et-vient. Elle pouvait d'ici caresser comme elle voulait l'intérieur des cuisses de César et les attributs de sa virilité. Elle respirait plus fort, haletait presque, de désir, en repensant à la nuit dernièere. Elle voulait lui faire plaisir. Elle accéléra encore ses mouvements, se pencha en arrière, sentant son corps trembler.

Cé...Cé..sar...

Elle avait du mal à articuler, sentait son coeur battre fort du sang qui bouillonnait en elle.

Tora retitn un gémissement. Elle se surprit à trembler, à ne plus pouvoir se maitriser. Ils avaient à peine commencé, et elle sentait déjà la vague de chaleur s'insinuer en elle. Elle laissa tomber son corps sur ses coudes, essayant de respirer convenablement. Elle accompagnait les mouvements de César du mieux qu'elle pouvait. Cette position animale, sauvage, lui plaisait bien. Elle sentait le jeune homme souffler derrière elle, et eut un sourire. Elle cambra le dos, pour faciliter la progression de son amant en elle. Elle aurait aimé pouvoir faire un peu plus. Tora haletait doucement, son bas-ventre en feu, les yeux mi-clos.

César....

Elle le sentait en elle, l'entendait, respirait son odeur, le voyait à travers ses paupières closes... Elle poussa un léger gémissement, tremblante. Elle n'osait plus dire un mot. Elle serra les dents et essaya d'accélérer le mouvement de ses reins. Elle gémissait par intermitence, essayant de se reprendre sans pour autant y arriver.

Tora ouvrit les yeux en sentant César s'en aller d'elle-meme. Elle voulut se retourner, repprenant contenance à présent qu'elle soufflait un peu, mais il la bascula en avant, et elle s'étala sur le lit, les cheveux dans les yeux. Elle les repoussa et poussa un gémissement en sentant César s'activer soudainement de sa langue sur son intimité. Elle se redressa. Elle ne voulait pas qu'il s'occupe d'elle aisni, elle ne se sentait plus le pouvoir de se maitriser, elle se haissait de ne pas pouvoir garder son calme vampirique. Elle serra les dents et avant que César eut pu bouger, il était sur le dos, la jeune femme entre les cuisses. Elle sourit. Elle avait utilisé sa rapidité vitesse 2, utilisant aisni le sang qui était en elle. Elle le sentait toujours bouillir, mais si ils continuaient comme ça, elle devrait bientot s'abreuver. Elle sentait son propre sexe humide, et le sang battre dans sa cavité. Elle prit le sexe de César entre ses mains, le tenant droit devant elle, se redressant parfois pour le caresser de ses seins, l'asticotant de ses tétons. Puis, passant la langue sur le bout de l'entrejambe du jeune homme, elle se mit à passer sa langue sur sonsexe dressé. Elle reprenait son soufle, et le controle de soi. Elle sentait toujours son coeur batte à une vitesse folle, cependant, et elle désirait le sentir en elle, encore et encore...

Elle prit l'entrejambe de César entre ses lèvres et fit quelques mouvements de va-et-vient, taquinant de sa langue malicieuse certains endroits sensibles.

Tora continuait lentement ses mouvements. Un souffle. La respiration de César ? Elle se demandait meme si elle n'avait pas revé. Mais non, car la voix suppliante du jeune homme demanda quelque chose auquel elle ne s'attendait pas. Elle l'observa. Il en avait donc vraiment envie ? Elle sourit et continua ses mouvements de va et vient, plaçant entre ses canines le sexe du jeunehomme. Le sentant tressaillir, elle caresse du bout du doit la base de l'entrejambe, comme pour calmer un animal un peu nerveux. Puis, lui lançant un regard malicieux, enfonça un de ses crocs dans le sexe de César. Elle savait où aller, mais si elle n'avait pas été initiée César aurait pu y perdre la vie. Cependant, elle avait "croqué" là où la sexe était quasi insensible à la douleur en ayant cependant énormément de récepteurs pour le plaisir. Elle léchait le sang, tremblant d'envie. Elle ressera son emprise autour du sexe du jeune homme. Elle passait de grands coups de langues sur le sexe pour mimer des va et vient. Puis, se collant contrele jeune homme, elle retira sa canine. Le sang ne perlait déjà plus et elle deserra les lèvres mais alors qu'elle allait se redresser, elle entendis le gémissement propice, et sentit la jeune homme se relacher. Elle déglutit et avala, notant un petit gout salé. Elle donna un dernier petit coup de langue au jeune homme et lui lança finalement un grand regard. Souriant, elle passa le bout de ses doigts sur l'entrejambe du garçon. Son toucher "magique". Elle fit glisser ses ongles lentement sur le pubis du garçon, l'observant avec malice et envie.

Tora répondit au baiser de César avec ardeur, de plus elle pouvait sentir la dureté contre son bas-ventre. Elle allait enfin se calmer, son coeur ayant retrouvé une vitesse à peu près normale, quand César la plaqua violemment contre un mur, la pénétrant de sa virilité remise à "neuf". Poussant un cri de surprise et d'envie, Tora s'aggripa aux épaules de César. Elle ne s'attendait pas à cela. Il la surprenait de plus en plus, et elle sourit. Elle caressa de sa langue la peau de César et glissa sur sa peau ses canines, le faisant frissonner. Elle gémissait, ne pouvant pas faire grand chose. César maitrisait la situation. Passant ses mains sur le cou du jeune homme, Tora s'amusa alors à gémir tout près de son oreille, avec force de bruits sensuels et excitants. Elle frotta sa joue contre la sienne.

César...Ha...Cé...sar..

Voyant qu'il réagissait, elle lui lécha l'oreille doucement. Elle caressait du bout des doigts son visage. Elle enlaca de ses jambesles reins du jeune homme pour approfondirl'exploration. Elle se cambra un peu et leva la tete, les yeux fermées. Elle ne pouvait plus se contenir et haletait de nouveau.